• Quoi qu'il arrive vous regarderez derrière moi.
    Mon cul doit être sublime, vous y êtes accroché.
    "Ne fais pas si, tu n'as donc pas d'estime de soi?"
    Si, j'ai appris à ne pas être un sosie de la société.


    Ne juge pas, tu ne seras point jugé. Faite moi rire.
    Ne juge pas et tu seras descendu plus bas que terre.
    Apprends que tu dois savoir laisser le bruit courir.
    Accordes-toi le temps de prendre une bouffée d'aire.

     

    Souris et sors de ta coquille, tu es plus belle au naturelle.
    Nous ne sommes plus au siècle passé, tu es libre.
    Cesse de te prendre la tête ta beauté est éternelle.
    Arrête de te guinder, tu es ton seule arbitre.


    La seule chose qui compte pour moi? Moi. Et encore Moi.
    Tu peux trouver tous mes défauts et en faire la grande liste.
    Je ne suis pas parfaite mais je m'accepte, pas comme toi.
    Rigole un peut chéri, toi aussi tu es un peu nombriliste.


    6 commentaires
  •  Le grand méchant loup ne m'effraye pas, c'est à lui de se méfiez de moi.

    Je suis celle qui séduit vos hommes pour un soir, et les fait rêver. Je nourris vos angoisse et vos crainte, et m'abreuve au creux de votre nuque. Je sais à qu'elle instant me glisser dans votre chambre pour aspirer votre vie.

    Ce sont les flaiblesses de vos hommes qui me font entrer dans vos vie. Tout commence simplement, par un regard  échangé, un soir dans une rue. Puis ils m'invite à prendre un verre. vous naïve, le pensez en réunions. Mais je m'immise entre vous. J'aime jouez avec mes proies.

    Tout doucement je les rends accrocs, ils ne voients plus que part moi. Pas besoin de l'hypnose, mon immortalité ma offert  ma beauté. Mais vous savez qu'il n'y a pas que sa. Je n'ai plus d'inibitions depuis bien longtemps, plus de tabouts. Je joues à ce que vous n'aimer pas, car j'adoree les voir jouïr avant de les épuiser jusqu'a ce que mort s'en suive. Sur ce point je suis comme vous, quand j'ai pris mon pied j'ai toujours un peut faim.

    Et rien de meilleur que du sang bien agiter, et bien oxygéné. Je finis toujours par me glisser sous vos couettes à leurs place pour vous donner du plaisir, afin de  vous donner la mort parfaite. Pendant que je joue avec une langue experte, mes crocs aspire votre essence même.

    Une fois repus je rentre me terrer, pour me remettre de cette nuit de folie.


    2 commentaires
  • Je suis lasse de vos jeux incessants,
    Lasse de vos enfantillages constants.

    Je pense avoir vu assez de misère,
    de peine, de colère et de destruction
    pour m'émouvoir de vos élucubrations.
    Je n'en peux plus de vos êtres austères.

    Je ne joue plus à vos jeux,
    De toutes ces promesses rompues
    Je craque l'allumette et y mets le feu.
    vos idéaux je brûle et de vos larmes je me repu

    Dame Elena, le 06/02/14


    votre commentaire
  •  ♥ l'Amour ♥Il y a des mots qui condamnent,
    Il y a des actes qui tuent.
    Mais qu'il m'en soit témoin sur mon âme,
    Que pour lui je me serais battue.

    Je ne suis ni intelligente, ni populaire.
    On ne s'arrache pas mon amitié.
    Alors que d'autres ne font que s'envoyer en l'air.
    J'aspire à me posé et à des banalité.

    Du haut de mes 21 ans j'ai des envies.
    Ma folie est toujours inconstante.
    Mais c'est à deux que l'on vit.
    Et la solitude n'est plus dans mes attentes.

     


    1 commentaire
  •  La cheminée crépitait, la chaleur me piquait la peau délicatement. Je lissais les plis de ma robe, mes yeux fixés sur les flammes dansantes. Je posais mes mains sur le rebord de la cheminée et laissais mes pensées vagabondées.

    Des yeux de braise, un regard carnassier. Tout le monde le haïssait pour une raison ou une autre. Même moi, j'avais mes raisons de le détester. Mais je savais qu'il y avait du bon au fond de lui. Ces agissement n'étaient pas néfaste, il tentait juste de régler les problèmes à sa manière.

    Un effluve parfumé me fit me retourné. Il se tenait à l'entrée de la pièce, me regardant avec un sourire angélique. Il s'avança lentement, par peur de me voir fuir. Mais je n'avais pas peur, c'était lui que je voulais et que j'aimais.

    Je ne suis pas bon pour toi. Dit-il avant de s'approcher de moi.

    _ Qui peut juger ce qui est bon pour moi ou pas? Dis-je.

    Ces yeux me dévoraient de la tête aux pieds. Il se colla contre moi. Ces mains se baladaient dans mon dos délicatement. Il allait ouvrir la bouche lorsque je le stoppais.

    _ Je t'aime, toi par un autre. JE me moque que tu penses être mauvais pour moi. 

    Il attrapa mon visage entre ses mains et me regarda un instant avant d'ajouter.

    _ Il est vrai que tu es aussi têtu qu'une mule.

    Il posa ce lèvre sur les miennes et m'embrassa avec ardeur et amour. Je me collais encore plus à lui.


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires